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Publié par Orbe

Le théorème des Katherine, John Green, Nathan, 2015

Colin vient de se faire larguer pour la dix neuvième fois par une Katherine. Il décide d'écrire un théorème qui lui permette de comprendre ce phénomène et d'anticiper toute rupture, voire d'espérer un retour de sa dulcinée.

 

Son ami Hassan, lui propose de partir en voiture afin de se changer les idées. Ils arrivent tous les deux dans un étrange petite ville du Tennessee qui fait commerce en faisant visiter la tombe supposée de François-Ferdinand.

Ils y rencontrent Lindsey qui elle sort avec Colin que notre héros s'empresse de renommer LAC, pour l'autre Colin ! Et se retrouvent rapidement embaucher afin de recueillir le témoignage des habitants sur leur ville et la seule usine du coup qui fabrique des cordons pour tampons.

Colin trouvera-t-il la solution à tous ses déboires ? Résoudra-t-il l'énigme des Katherine ?

 

Un roman très vivant qui bouscule le lecteur français en l'embarquant dans la vie d'un surdoué plongé dans l'Amérique profonde, à la recherche d'une recette pour le bonheur.

Un récit qui irradie d'humour et de clins d'oeil. La différence que porte le héros, son intelligence qui est en réalité une marque d'inadaptation, amène un regard décalé sur les différentes situations qui vont survenir, certaines comme la formidable scène de chasse, sont dignes d'un vaudeville !

Palme d'or au personnage d'Hassan, qui à la manière de Jacques le fataliste avec son maître, porte une parole juste et philosophique. Ses célèbres répliques : "Pas intéressant" visent à empêcher Colin de mener trop de digressions et de s'égarer sur le chemin de la vie.

Un roman du célèbre auteur de "Nos étoiles contraires" qui offre dans ce livre hors norme une autre de ses facettes ! A découvrir !

978-2092555712
16,90 euros
288 pages

 

Amour- Destin- Philosophie- Humour

 

Celui de Colin Singleton n'était pas physique mais linguistique : il aimait les Katherine. Pas les Katies, ni les Kat, ni les Kittie, ni les Cathy, ni les Rynn, ni les Trina, ni les Kay, ni les Kate et surtout pas les Catherine. K-A-T-H-E-R-I-N-E. Il était sorti avec dix-neuf filles, toutes des Katherine. Et toutes, sans exception, l'avaient largué.

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