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Publié par M.Utéza

Il était une fois la Terre : Tout commence il y a 4,6 milliards d'années..., Martin Jenkins, Grahame Baker-Smith, Bayard, 2019

Comment expliquer la formation de la Terre et l'évolution du vivant ? Ce somptueux documentaire grand format répond avec réussite au défi !

Tout d'abord il y a une très intéressante introduction qui resitue en une page les hommes dans la chaîne des êtres vivants.

Puis nous enchaînons sur une partie plus tournée vers l'astrologie et qui reprend, pas à pas, l'ensemble de l'histoire de l'univers. Nous suivons ainsi par exemple la constitution des étoiles et des planètes.

Mais c'est à l'époque du protérozoïde que vont apparaître les premières formes de vie qui vont se diversifier. Leurs changements sont liés aux périodes de glaciation, de réchauffement et d'oxygénation.  

J'ai beaucoup aimé les pages qui décrivent et expliquent les organismes, plantes et animaux qui apparaissent. Parfois nous n'avons que très peu d'informations sur eux notamment lorsque leurs corps sont mous ou quand nous n'avons que des empreintes.

Les illustrations sont splendides, notamment les crayonnés qui donnent le nom mais aussi la taille des individus. 

Ce livre évoque chronologiquement et avec clarté le développement de la vie, dans la mer puis sur terre. J'ai ainsi appris que les premiers dinosaures étaient très lents car ils ne pouvaient pas en même temps courir et respirer. 

De la même manière, il m'a semblé que ce livre constitue aussi une mine d'explication sur les fortes et dangereuses modifications du climat sur les organismes qui peuplent la Terre. Nous retrouvons enfin la question des dérives des continents. 

Le livre se termine avec l'apparition de l'homme et offre en toute fin un glossaire des termes importants. 

À lire et à offrir !

97827470993318
18,90 euros
96 pages
Tradutceur Eric Chevreau


 

Les nouvelles conditions (un climat chaud et de l'oxygène en quantité) ont sans doute permis l'apparition des premiers organismes non microscopiques, mesurant quelques centimètres au maximum.

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